Il y a ce que les intellectuels, la presse Mainstream et le gouvernement analysent, diffusent, et ce que la population, considérée comme des moutons stupides, raisonnent et comprennent.
Depuis janvier 2020, nombreux sont ceux qui savaient que le coronavirus provoquaient des thromboses qui étaient responsables des formes graves avec problèmes respiratoires qui entraînaient la mort et que le SarscoV2 s’attaquait à notre système inflammatoire.
Pourquoi le gouvernement qui était lui aussi au courant a-t-il interdit les antithrombotiques et anti-inflammatoires qui sont sensés être les premiers soins dès les premiers symptômes ?
Lorsqu’on sait qu’un virus provoque des thromboses, l’être intelligent comprend qu’il faut utiliser dès les premiers symptômes un antithrombotique pour éviter la coagulation du sang qui permet aux caillots d’obstruer le flux sanguin dans les artères, de moins irriguer les tissus qui peuvent être endommagés ou détruits car ils peuvent entraîner une crise cardiaque ou un AVC ou autre.
Nombreux sont les martiniquais qui ont eu la Covid-19, qui se sont soignés avec les plantes de leur pharmacopée, ont pris en prévention la potion « Virapic », des antithrombotiques et anti-inflammatoires naturels et autres. D’autres malades ont fait appel à des praticiens qui ont bravé l’interdiction gouvernementale et les ont soigné avec des médicaments et les ont guérit.
Bien entendu, il y a ceux qui ont écouté les instructions du gouvernement : « Restez chez vous et prenez du Doliprane ». Ceux-là ont eu les formes graves y ont échappé avec des problèmes de santé et/ou sont décédés ou ce sont rétablis avec des séquelles importantes.
Des êtres, même sans instruction, auraient été capables de faire appel à leur intelligence pour comprendre que l’antithrombotique et l’anti-inflammatoire auraient permis d’éviter les formes graves de la maladie et prendraient conscience que le fait d’attraper la maladie serait bénéfique pour l’obtention d’une immunité naturelle (meilleure que des vaccinations à répétition).
Aujourd’hui, nous prendrons l’exemple d’une petite île de 1128 km2 qui s’appelle la Martinique.
Cette petite île a souvent utilisé sa pharmacopée, ses « rimèd razié » lorsque la médecine et l’industrie pharmaceutique restaient impuissants face à des virus tels que le chikungunya, transmis à l’homme par la piqûre du moustique tigre et le Zika transmis par les moustiques du genre Aedes, la dengue et bien d’autres. Elle a donc pris l’habitude de se soigner avec sa pharmacopée.
Contrairement à ce qui est répété par les gouvernants, il y a des soins autres que la vaccination expérimentale qui fonctionnent parfaitement. Il a été prouvé que l’efficacité du vaccin s’élève à 30 % tandis que celle de l’Ivermectine est à 80 %.
Il est important de rappeler que « cas » ne veut pas dire forcément malades. Ne serait-il pas plus opportun de vérifier si les 85 % de la population non vaccinés, qui se portent bien, ne seraient pas déjà immunisés ?
Pourquoi le gouvernement s’évertue-t-il à vouloir faire des tests PCR qui provoquent de faux positifs et de faux négatifs sans faire appel à d’autres tests plus fiables ?
Selon Antonio Magi, Président de l’Ordre des Médecins : «Les vaccinés sont aussi contaminants que les non vaccinés» «Faire passer le message que les non vaccinés sont un danger public est incorrect» source https://twitter.com/lolaCoh82550541/status/1418817554072670217
Le variant Delta n’est pas létal, vous pouvez vous soigner et sortir quand bon vous semble. Ecoutez les vrais chercheurs et vous sortirez de l’aveuglement et des mensonges du gouvernement et des médias complices de leurs mensonges.
Notre conseil : Vaccinés et non vaccinés soyez unis et arrêtez de vous faire tromper car ceux qui subiront dans le temps les effets indésirables de la vaccination trouveront ceux qui ne sont pas vaccinés pour les aider.
Ne soyons plus des moutons que l’on mène à l’abattoir mais faisons fonctionner notre intelligence pour acquérir de nouveau notre liberté !